On redécouvre aujourd'hui les roses anciennes pour la diversité de leurs parfums, leur port souple, la richesse de leurs coloris. Il est bien reconnu que ces roses sont pour la plupart d'origine française, mais la contribution de la Normandie est méconnue. Sait-on, que du début du XIXe siècle jusqu'au premier quart du XXe siècle, plus de 60 obtenteurs Normands ont créé près de 700 roses ? Ces roses de jardins ont été obtenues par de grands rosiéristes professionnels, principalement dans les régions de Caen et de Rouen, mais aussi par un grand nombre d'amateurs, de toute la Normandie. Certaines ont joué un rôle important dans l'histoire de la rose, d'autres sont universellement connues. J'ai pu, à ce jour, en retrouver 70. Elles sont regroupées dans la roseraie « Roses de Normandie », en vue de les conserver et de faire redécouvrir cet aspect remarquable, oublié et menacé, du patrimoine horticole Normand. Ses dimensions sont aussi culturelles et économiques : vers 1830 on produisait à Rouen près de 2000 variétés différentes de roses, d'où on les exportait de la Russie à Cuba !
Morgan et Dylan
La panthère de Chine
La panthère de Chine (Panthera pardus orientalis), également appelée panthère de l'Amour du nom du fleuve Amour, est l’une des 8 sous-espèces de panthère (Panthera pardus) et la plus menacée d'extinction.
Plus petite que sa cousine africaine, cette panthère ne survit plus aujourd'hui que dans un mince territoire le long de la frontière entre la Chine et la Russie. Elle vit dans les forêts et dans les zones rocheuses de l'Amour et de l'Oussouri.
Malheureusement, la médecine chinoise attribue à sa dépouille des vertus médicinales, et de ce fait, elle est chassée à outrance. Elle a perdu 90 % de son domaine vital à cause de la déforestation.
Selon les scientifiques américains et russes, il ne subsisterait que 30 à 35 individus à l'état sauvage dans la région, vivant dans 3 parcs naturels le long de l'Amour.
L'une des dernières femelles de l'espèce a été tuée mi-avril 2007 dans le parc naturel de Barsovy, réduisant à 7 le nombre de femelles survivantes.
Les parcs zoologiques (où 150 à 200 animaux sont recensés dans les années 2000) pourraient être le dernier refuge de cette sous-espèce dans un proche avenir, à moins d'une hypothétique réintroduction.
Krystal, Brice et Nicolas
La kermesse
Le samedi 20 juin 2009, nous avons dansé la Cochinchine. Les garçons trouillards sont restés en bas à part Nicolas et Brice.
Krystal et Angélique
Date de dernière mise à jour : 19/05/2024